désespoir et rencontre [pv Karin Thaler]

cela fais plusieurs jours que je suis à l'hopital après l'accident de voiture. Ma mère à put sortir il y a quelques jours mais moi je dois encore rester là. En plus je dois me coltiner mon grand frère Matt sur le dos. Il est pire qu'une sangsue. Encore heureux qu'il a eut une urgence. J'en ai marre de rester allonger. Je tourne mon regard. J'analyse en un quart de seconde la perfusion qu'il y a à mon bras. Je l'arrache d'un coup sec. Je sais que c'est mal mais j'ai plus rien à perdre ni à gagner. Je me lèves. Mon bras commence à saigner à l'endroit où j'ai arracher la perfusion. Je laisse saigner c'est pas ça qui va marrêter. La douleur à mon genoux se réveille presque instantément par contre. Je grognes intérieurement. Je me dirrige vers le couloir. je commences à le long à raz le mur pour pouvoir me rattrapper si mes jambes lachaient

Karin travaillait ce jour là. Normalement elle devait travailler au soins intensif mais une collègue d'un autre service tomba malade. Il se passa que Karin fut "muter" dans ce service le temps que la personne revienne. Elle devait normalement aller voir une jeune fille du nom de Mary... Elle alla voir le dossier et dans sa chambre. Personne. Puis elle vit une jeune fille qui longeait les murs.

"Excusez moi c'est vous Mary Camden ?"

j'entends une voie dans mon dos. J'arrête de marcher et je fais lentement volte face. C'est une femme. Tiens ça change de mon frère. Je dis tout en regardant mon interlocutrice

"oui et j'ai passé l'âge d'avoir une nounou. Si c'est Matt qui vous envois vous pouvez allez le voir avec comme message mon poings entre les deux yeux"

Elle arrête de marcher et se tourne lentement vers Karin.

"Je ne suis pas une nounou je suis le médecin remplaçant. Et ce n'est pas Matt qui m'a demandé de vous voir... Ca je vous le dis. Mais c'est mon travail de voir comment vont mes patient. Sinon le genoux comment ça va ? "

bon ok je me suis trompé pour une fois que Matt n'y est pour rien. Je dis au bout d'un moment en fixant mon interlocutrice

"il faudra qu'il aille il n'y a pas le choix"

"Ok"

Karin ne comprenait pas pourquoi la jeune fille voulait partir. Les patient et leurs familles aimaient bien Karin elle aimait passé du temps avec ses patients se ballader dans le parc. ou quoi. Elle tenta

"Ca vous dit qu'on aille un peu dehors ? Dans le parc par exemple mais faut une chaise roulante sinon on y va pas "

je regarde cette femme. Je reconnait que je suis à cran et donc aggressive elle veut m'emener au parc. Mais elle parle d'un fauteuil roulant. Je souprie et dis

"Bon daccord si c'est obligatoire le fauteuil. Mais je n'ai pas l'intention d'y passer ma vie dedans."

Elle soupire mais accepte. Karin répliqua

"C'est juste pour votre bien... "

Karin alla chercher le fauteuil

"Si vous voulez vous pourrez quitter le fauteuil pour vous assoir sur le banc mais pour le chemin c'est risqué. Mais vous ne finirez pas votre vie dedans vous etes forte vous vous rétablisserez vite"

J'hoches la tête. elle ne me connait pas. Je dis

"Et pour le basket c'est rapé;Si je manque deux entrainement je suis viré de l'équipe."

J'ajoutes

"Il faut absolument que j'y aille"

Elle me parla du basket, je lui répondis

"Je sais ce que c'est de faire du sport et que à cause d'un accident on peut presque plus en faire. Mais si vous voulez je veux bien sonner a votre entraineur et faire un certificat médical en demandant de ne pas vous virer de l'équipe. Mais vous resterez encore ici pendant un petit moment"

Je soupire et dis

"Merci."

Je ne sais pas trop pourquoi mais cette femme semble me comprendre je dis

"Mais mon entrainneur et de nature buté"

"J'irais lui parler si vous voulez... Et s'il comprends pas je sais pas ce que je lui fais... mais je lui dirais que si vous restez au repos vous viendrez pas pendant plusieurs semaine hors si vous continuez a jouer se sera peut etre pour toute la vie que vous arreterez

je soupires et je dis au bout d'un moment

"Je comprend. Le mieux est de vous écouter et de vous obéir"

"Il vaudrait mieux Mary"

Dit Karin avec un petit sourire.

Alors comme ça vous faites du basket ?"

Karin aimait prendre du temps pour connaitre ses patients. Et elle aimait discuter avec eux

oui je fais du basket. Je souris et dis

"Oui je fais du basket depuis que j'ai 7 ans. Au départ c'était avec mon grand frère Matt. Puis après je l'ai prit en option"

"C'est bien. Mais vous verrez vous pourrez en refaire bientot mais pas intensément non plus..."

Karin lui sourit.

je souris également et je dis

"Je connais mes limites en générale je les respectes"

"Tout le monde dit ça... je l'entends tous les jours. Moi même je le dis. Mais quand on aime quelque chose toi le basket en particulier tu pourrais les dépasser et ne pas vouloir respecter ces limites"

je regarde mon interlocutrice. Je dis

"Oui c'est peut être vrai."

Karin lui sourit.

"Et a par le basket vous aimez quoi d'autre ?"

je souris et répond à la question tout en regardant mon interlocutrice

"J'aimes beaucoup m'occupper des enfants aussi. Enfin c'est un peu normal quand on à 5 frère et soeur plus jeune que nous. Et vous à part l'hopital?"

[HJ] Sorry mon pc a planté quand j'ai voulu envoyer mon message grr il ne l'a fait qu'avec une partie.

Karin sourit. Et répondit à la jeune fille.

"J'adore apprendre à connaitre mes patients. Passer du temps avec eux... Sinon j'aime me promener au bord de l'eau, et au parc. Mais bon c'est l'hôpital qui est en premiere place. J'ai pas vraiment le temps de faire autre chose quand je vais chez moi."

Karin ne voulait pas dire qu'elle restait longtemps à l'hôpital car elle ne voulait pas rester seule chez elle.

j'hoches lentement la tête en écoutant les paroles de mon interlocutrice. Je dis au bout d'un moment de silence

"Oui je comprends. Moi je sais que je ne pourrais pas passer ma vie sur mon lieu de travail. Je ne le ferais jamais passer en premier"

Karin lui dit ;

"Tu dis toujours ça quand tu as quelqu'un qui t'attends a la maison le soir avec un enfant. Mais quand tu n'as plus personne. Tu passes le moins de temps possible chez soi. Et tu restes dans un endroit ou a besoin de toi"

je regarde mon interlocutrice et je dis

"Je comprend mais à coté il y a une vie. La vie continut. Elle continut toujours"